Aujourd'hui et demain, nous expérimentons l'école virtuelle.
En effet, il y a quelques années, les écoles ont été fermées durant trois semaines en raison d'une épidémie de SRAS. Pour remédier à une telle situation, l'ISG a mis en place une école virtuelle. Dès lors, tous les ans, a lieu un entraînement au maniement du dispositif durant deux jours.
Grâce à l'école virtuelle, les étudiants travaillent à domicile, avec des cours et exercices en ligne. Les élèves et les professeurs sont en réseau.
L'étudiant accède à la plateforme de sa classe qui centralise différents liens vers d'autres plateformes de ressources mais aussi avec une messagerie instantanée et une messagerie ordinaire.
Chaque jour, l'étudiant doit se connecter. Il relève ses messages, et va voir, dans la rubrique de chaque enseignant, les tâches à accomplir. Il se connecte ensuite, selon les besoins, à la plateforme qui dispense les leçons et les exercices à faire.
Les professeurs peuvent relever les devoirs remplis en ligne et contrôler qui s'est connecté, à quelle heure et combien de temps.
Tout est animé, coloré, interactif. C'est superbe.
Nous avons pu lire un livre, répondre au quizz qui lui correspond, et remplir un questionnaire de compréhension.
Ensuite, nous avons eu une leçon de maths animée ("trop cool !", vient de me dire mon fils...) avec une détective, des histoires de robots...
Le tout, en chaussons. Pas de bus à prendre, récréation à la maison. Maman à la portée de la main...
Pour les parents, cela demande d'être disponibles. D'autant plus que, en ce qui nous concerne, je dois encore traduire pas mal de choses à mon fils. Cela dit, on se rend mieux compte de l'esprit et du contenu de l'enseignement. Parfois même, on ré-apprend quelque chose...
Certaines mamans appréhendent ces deux jours. Certaines maisons ont un débit d'Internet insuffisant. D'autres n'ont pas assez d'ordinateur pour leurs enfants, il faut organiser le temps de travail des uns tout en occupant les autres. Et il faut s'organiser pour faire les courses un autre jour (ce qui n'est pas simple ici).
Mais cela ne dure que deux jours. Changer les habitudes a du bon et incite les enfants à gagner en autonomie. C'est d'ailleurs une caractéristique du système américain.
En effet, il y a quelques années, les écoles ont été fermées durant trois semaines en raison d'une épidémie de SRAS. Pour remédier à une telle situation, l'ISG a mis en place une école virtuelle. Dès lors, tous les ans, a lieu un entraînement au maniement du dispositif durant deux jours.
Grâce à l'école virtuelle, les étudiants travaillent à domicile, avec des cours et exercices en ligne. Les élèves et les professeurs sont en réseau.
L'étudiant accède à la plateforme de sa classe qui centralise différents liens vers d'autres plateformes de ressources mais aussi avec une messagerie instantanée et une messagerie ordinaire.
Chaque jour, l'étudiant doit se connecter. Il relève ses messages, et va voir, dans la rubrique de chaque enseignant, les tâches à accomplir. Il se connecte ensuite, selon les besoins, à la plateforme qui dispense les leçons et les exercices à faire.
Les professeurs peuvent relever les devoirs remplis en ligne et contrôler qui s'est connecté, à quelle heure et combien de temps.
Tout est animé, coloré, interactif. C'est superbe.
Nous avons pu lire un livre, répondre au quizz qui lui correspond, et remplir un questionnaire de compréhension.
Ensuite, nous avons eu une leçon de maths animée ("trop cool !", vient de me dire mon fils...) avec une détective, des histoires de robots...
Le tout, en chaussons. Pas de bus à prendre, récréation à la maison. Maman à la portée de la main...
Pour les parents, cela demande d'être disponibles. D'autant plus que, en ce qui nous concerne, je dois encore traduire pas mal de choses à mon fils. Cela dit, on se rend mieux compte de l'esprit et du contenu de l'enseignement. Parfois même, on ré-apprend quelque chose...
Certaines mamans appréhendent ces deux jours. Certaines maisons ont un débit d'Internet insuffisant. D'autres n'ont pas assez d'ordinateur pour leurs enfants, il faut organiser le temps de travail des uns tout en occupant les autres. Et il faut s'organiser pour faire les courses un autre jour (ce qui n'est pas simple ici).
Mais cela ne dure que deux jours. Changer les habitudes a du bon et incite les enfants à gagner en autonomie. C'est d'ailleurs une caractéristique du système américain.
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