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We are a simple french family with one dad, one mum and two children. And now a cat.
We are sharing here with you our expat adventure in Al Jubail, Saudi Arabia.

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samedi 5 octobre 2013

Bilan après un an de bac à sable


Ça y est, un cycle vient d'être bouclé. Cela fait un an que nous sommes en Arabie.


Quand nous sommes revenus de France en juin dernier, j'ai eu d'abord du mal à quitter la vie saoudienne. Étonnant... Il a fallu quitté la clique des copines (dont certaines sont rentrées chez elles ou parties sous d'autres cieux), quitter la chaleur, la routine.
Puis, nous avons passé deux mois passés à zigzaguer entre amis chers et famille. Et là, j'ai eu à nouveau de la tristesse à devoir tout quitter, de ne pas faire la rentrée dans notre petite école avec tous les gamins qui ont bien grandis. C'est à croire que rien ne peut se faire simplement !
Je me suis rendue compte combien "Partir, c'est mourir un peu". On se déchire un peu à chaque départ, d'où qu'il soit. Cela dit, en discutant avec des amis en France ou ici, c'est finalement le lot de tous les expats et de toutes les personnes qui vivent-travaillent à un endroit et vont en vacances ailleurs, dans une maison de famille ou une maison de cœur.

Alors, un pas après l'autre, tout le monde a repris le chemin du travail et de l'école.

En arrivant ici, j'ai été très agréablement surprise d'être contente de retrouver ma (deuxième) maison. Avec sa clim couinante, l'odeur de biryani dans le compound, le muezzin, mon intérieur familier.
En plus, tout était archi-propre (merci Amir) et rangé (merci Papa).

Donc, nous voilà repartis pour un tour.

Quel bilan sur l'année passée?

- Le pays et la vie quotidienne : compliqué, mais réalisable. Il faut vouloir s'adapter, prendre les choses à bras le corps, se gendarmer pour positiver la situation - ça nous est même arrivé d'en pleurer de rire, avec une histoire de taxi en panne à cause d'une batterie à plat - et cultiver l'art de l'attente.
La pratique de l'anglais doit se plier aux différents accents, mais au bout d'un an, on s'y fait. Je commence à voir des films en VO ou comprendre des interviews sans lire les sous-titres.

- Financièrement : on s'en sort si on ne cherche pas à tout prix à consommer comme en Europe, et si on ne se laisse pas entraîner dans les boutiques de luxe !

- Les gens : neutres, parfois sympathiques et courtois. La société est toute en contradictions et nuances. Je regrette de ne pas pouvoir connaître mieux des locaux. Il reste des barrières culturelles qu'on ne peut malheureusement franchir.
A noter : Il me semble parfois qu'il y a plus d'Indiens que de Saoudiens, dans ce pays...

- L'école : ça va. La rentrée s'est très bien passée.
On ne peut pas dire que c'était dans l'enthousiasme (c'est international, ça...), mais les enfants connaissent désormais les locaux, les maîtresses, le tout "all in english".
Ils ont réussi a atteindre le niveau requis l'année dernière et à passer dans le niveau supérieur - chapeau ! Le scolaire me semble bon. Le maintien de la langue française nécessite toutefois un travail quotidien supplémentaire à la maison, ce qui n'est pas toujours facile. Mais j'ai été bien aidée en France (merci à la famille D. !). Les cod sont rentrés dans la tête, et les diverses terminaisons ne se font plus oublier.
Moi, je suis à peu près au point avec les fichues lunchbox(es)


- Le boulot du papa : c'est un peu le point noir. Les journées sont longues et la vie de famille s'en ressent par moments.


Et maintenant ?

La mission d'expatriation se termine en principe cette année. Mais comme tout le monde, dans la mesure où les contrats ne sont pas terminés et que les affaires sont florissantes, il est possible qu'on nous demande de prolonger.

Personnellement, je me demande comment va se passer cette nouvelle année. Hier, tout était neuf, à construire et à découvrir, là, je reviens en terrain connu. Dans toutes mes précédentes activités professionnelles, cela s'est passé ainsi : une première année éprouvante mais très riche, suivi par une année de routine où je commençais à tourner en rond et à ronger mon frein...

Nous verrons bien.



Dans mon frigo :
"Ici, aussi, on aime le Pinar" (plaisanterie familiale...) 
 (marque de Labaneh, fromage frais, type Madame Loïc, qu'on accomode (ou pas) sucré ou salé)
Remarquez aussi le soda, spécial Eid.
Quant au Laban, c'est un peu comme du lait ribot. Très rafraîchissant.
Notre épicier m'a recommandé de le mélanger au soda. Eh bien, c'est étonnant !!!






mardi 18 juin 2013

La tenue saoudienne (dames)

Les femmes se doivent de respecter les mêmes principe vestimentaires que les messieurs : pudeur, simplicité.

Toutefois, la règle est plus stricte pour les femmes. Si les hommes peuvent s'habiller à l'occidentale, toute femme saoudienne ou étrangère se doit de porter une tenue spécifique, dès qu'elle sort de chez elle (à l'exception des compounds).


Saoudiennes dans le Mall de Dharan à l'occasion d'une manifestation pour le Guiness Book (source Internet)



La tenue se compose :

De l'Abaya : robe noire couvrant les bras et descendant jusqu'aux chevilles ou jusqu'au sol, pour les plus stricts.

Un guide d'Oman nous a expliqué qu'autrefois, dans son pays, les femmes portaient des costumes colorés, tout en étant voilées. L'usage de l'abaya noire serait venue avec les princesses saoudiennes venant passer les vacances à Oman. Elles portaient ses robes simples pour cacher leurs bijoux.

En tout cas, l'abaya passe aujourd'hui pour un objet de mode ! Toujours noire, les décors varient depuis les fleurs, les frises graphiques, les couleurs, le doré ou l'argenté.... Sans oublier les strass collés dessus... J'ai même vu une abaya avec l'écusson Harley Davidson...

Ce sont surtout les étrangères, qui portent des abayas décorées.






Quelques abayas

L'abaya a des options. On peut choisir une ouverture de haut en bas avec des boutons (s'ouvre trop facilement...), ou juste une ouverture au col. On peut choisir aussi d'avoir une capuche, qui sert à se couvrir la tête, remplaçant le foulard.
Les manches sont ouvertes ou élastiquées (pratique).
La robe est en forme de T ou de triangle (Abaya papillon, très joli), parfois avec des plis.
Je crois que certaines abayas sont taillées pour remonter depuis le dos par dessus la tête.

Si on peut se dire que l'on peut porter ce que l'on veut en dessous, mieux vaut quand même prévoir. Je me suis retrouvée embarrassée un jour où je suis allée à un repas entre amies, en débardeur-short sous l'abaya. Arrivée au restaurant, la salle était réservée pour les femmes. Elles ont toutes retiré leur abaya, dévoilant un concours d'élégance, occasion oblige. J'avais l'air d'une touriste... Pfff.

Une abaya courante coûte environ 25 euros. Le prix augmente ensuite avec l'ajout de broderies, de plis et en fonction du tissus. C'est incroyable la variété de tissus possibles, satin ou mat, fin ou épais... Tous  invariablement noirs. 
Il y a des tailleurs spécialisés dans les abayas courantes à peu près partout. Dans certains malls, on trouve des magasins d'abayas haut de gamme. A l'occasion, j'irai regarder ce qu'il en est. Il faut compter plus de 100 euros pour l'une d'entre elles.
Il y a également des abayas en vente en ligne. A moins d'être sûr de la marque, mieux vaut toutefois  voir le modèle et le toucher, pour juger du tissu. Quand la chaleur arrive, la robe peut devenir vite insoutenable.

Complétant l'Abaya, il est nécessaire d'avoir un Hijab.
Ce foulard doit cacher au moins les cheveux. Il est assorti à l'abaya et vendu avec.
Je ne suis pas encore habile pour le nouer correctement (et le faire tenir).

Les saoudiennes portent en plus un Niqab.
Ce masque ne laisse voir que les yeux. Il est noué derrière la tête, ou scratché, par dessus le Hijab. L'ouverture de la fente peut être maintenue par un mince cordon.


Source : http://quran-m.com/firas/en1/index.php/embracing-islam/275-why-i-shed-bikini-for-niqab.html

Il paraît que certains Niqabs sont dotés de technologie Bluetooth, permettant de téléphoner ou transmettre sa photo - sans le voile - méthode locale de séduction. Est-ce mythe ou légende ?
http://www.patheos.com/blogs/mmw/2008/07/beyond-the-burqawith-bluetooth/

Les musulmanes très croyantes, recouvrent leur tête (par dessus le Niqab et le Hijab), avec un voile intégral, plus ou moins transparent.
Elles portent également des gants noirs. Elles se dissimulent alors complètement.


Je me suis retrouvée un jour devant des enfants en pleurs, ayant perdu leur maman dans un centre commercial. Imaginez, que répondre à la question : "Comment elle est, ta maman ?" Les enfants criaient si fort, que c'est leur maman qui les a retrouvés.
Et comment un mari reconnaît sa femme dans la foule ? Oui, la taille, la stature... Mais aussi... Le sac à main !


dimanche 9 juin 2013

Shopping, menu et addition

Qu'est-ce que vous mangez, est-ce que la vie est chère ?

Pour résumer, cela dépend de là où l'on fait ses courses et de ce que l'on achète.

Pour les habits, on trouve des marques que l'on trouve en France : Okaïdi, DPAM, Orchestra, et aussi Jacadi. Compter 10 à 30% de plus qu'en France.
On trouve aussi des magasins comme Zara, Desigual, Banana republic, HetM. J'en passe.

Il y a aussi de très magasins plutôt absents en France qui méritent le détour (... malgré le prix pour certains) : Marks and Spencer, Debenhams, Pottery Barn, Gymboree, Hush puppies, Birkenstock.
Le bon plan c'est les soldes : en juin et en janvier... -50-70% on se rue dessus !

Certes, les salles d'essayage sont à l'extérieur du magasin, il faut s'organiser, quitte à prendre ses mensurations et vérifier sur les habits dans le magasin. Car avec les heures de prière, les malls interminables et les magasins qui ferment entre 12h00 et 16h00 le temps passe très très vite.

Côté restaurants, dans la région de Jubail-Khobar, il y a beaucoup de fast foods  :

- Mc Donald (aux normes US, moins savoureux qu'en France), Chilli's, KFC, avec les mêmes prix qu'Europe voire plus chers s''ils ont de la viande.

- Fast foods indiens, persans : pas chers (7 euros à deux) très inégaux en qualité. Moi, j'aime bien Isfanahi pour sa joli déco, son lemon-mint, son pain plat fait devant nous et les ragoûts de poulet.

On trouve aussi beaucoup de restaurants indiens, thailandais très inégaux aussi en qualité.

Les restaurants de sushis se développent.

Peu de restaurants italiens ou français (sans vin ni viande de porc : on oublie les tomates farcies, les quiches lorraines, le Serrano. Les pizzas sont faites avec du boeuf ou du poulet. Qualité très inégale aussi.

On trouve parfois des bijoux de gastronomie (rares mais ô comment agréables !) ou des petits restaus de quartiers très surprenants. Pour ces derniers, il vaut mieux s'en remettre à l'avis du voisinage...

Pour les courses, il y a différentes options.

Les marchés : il vaut mieux évter d'y aller en fin de journée, à cause de l'odeur liée à la chaleur. Il y a des marchés où le poisson est tout frais (voir post : le jour du poisson).

Les supermarchés : Carrefour est présent dans toutes les grandes villes de la péninsule.
Personnellement, je trouve que c'est moins cher qu'en France, peut-être parce qu'on n'y trouve que l'essentiel. J'ai vu un ou deux Géant. Les européens et américains vont aussi chez Danube et  Tamimi. Tamimi est aussi cher qu'un supermarché européen. Ils ont de la TRES bonne viande rouge, de bon fruits et légumes.
J'aime bien aller à FARM où les fruits et légumes sont bons la plupart du temps

A mon sens, le plus économique est de manger à plusieurs râteliers, c'est le cas de le dire.


Du coup, nous mangeons indien, thaïlandais, parfois de bonnes grillades et un peu moins de rôtis, de manchons de canard avec pommes de terre sarladaises, de cassolette de St Jacques au Riesling.
Nous nous rattrappons quand nous rentrons en France, la balance grimpe ! 

AAaaahhh....

... Elles sont revenues !

Après 8 mois de paix, les fourmis sont revenues !
Toute miette de grille-pain, goutte de jus de melon et c'est la ruée !


... Allez, plus que 2 semaines et demi et je leur laisse la maison !

mercredi 17 avril 2013

Sémantique, Paris et la Tour Eiffel

La vie d'expat est riche en rencontres.

La première chose que j'ai apprise, c'est de ne plus imaginer l'origine des personnes en fonction de leur physique : Il y a des pakistanaises originaires d'Afrique du sud, des enfants blonds qui s'appellent Mustafa, des malaisiennes qui s'appellent Lorraine,... Bref, nous révisons la géographie mondiale en Live.
 (image : Ecole Morain La Fontaine Flers)

La deuxième chose, c'est de s'adapter aux accents et au vocabulaire.
A l'école, on apprend l'anglais. En fait, c'est un anglais plus ou moins british, plus ou moins littéraire.
On est complètement démuni(e)(s) face aux accents, y compris avec les accents des différentes origines de la société anglaise. Au fur et à mesure des rencontres, l'oreille apprend à décrypter.
D'autre part, le vocabulaire de l'Oncle Sam n'est pas tout à fait identique à celui de Sa Majesté. De plus un mot d'orgine anglaise peut être utilisé différemment par une communauté d'étrangers. Par exemple, je reste en panne avec le mot "gourmand" : le "greedy" anglais est péjoratif auprès des sud-africains, il veut dire "radin"... Et figurez-vous que personne ne m'a encore permis de pouvoir exprimer le mot "gourmand"... J'ai équipé mon fidèle téléphone avec un dico, et j'ai un petit carnet dans mon sac pour faire un dessin quand rien d'autre ne fonctionne...

 

La troisième chose, c'est que, venant d'une région riche en patrimoine, j'en ai marre de voir la France réduite à Paris, La Tour Eiffel, et la côte d'Azur. Alors, à chaque fois qu'une voisine part d'Arabie, je lui offre notre sel et une plaquette d'information. Et quand nous sommes de retour en France, je partage mes photos.

 Mon fournisseur officiel : http://tygraindesel.com

Du coup, je reçois en retour les photos d'autres voisines, quand elles retournent chez elles.
C'est un bel album de photos mondial et interactif !

mercredi 20 mars 2013

Sandy weather

Eh bien, voilà, nous sommes à la fin du mois de mars, et nous n'avons eu 5 jours d'hiver (de froid, je m'entends) en tout et pour tout !

La température minimale relevée au départ à l'école a été de 7°C. Pas chaud, c'est sûr, mais avec le soleil, il faisait un agréable 20°C à midi. Nous avons allumé le chauffage durant une semaine.
Nous avons eu 3 ou 4 jours de pluie, dont un seul a duré la journée. On se serait crus en chez nous !

Ce qui est étonnant, c'est que, toutefois, nous avons bien apprécié la piscine chauffée. Et, en sortant de l'eau, je peux vous dire que tout le monde se sèche en vitesse et en grelottant...
Qu'est-ce qu'on s'habitue vite à ce climat !

Depuis une semaine, le thermomètre n'a de cesse de grimper. Nous avons atteint 32°C hier.
Comme disait une voisine, pas besoin de sèche-cheveux, il suffit d'aller accompagner les enfants au bus, et les cheveux sont secs !
Alors, nous avons rallumé l'air conditionné...

Accompagnant ce réchauffement, nous avons subis une légère tempête de sable.
Cela ressemble à un brouillard sec, légèrement ocre. Il souffle un vent à la fois très agréablement chaud mais aussi très désagréablement accompagné d'infimes particules de sable. Pénible pour les porteurs de lentilles.
Ces fines particules s'insinuent partout dans les maisons. Et entre les playmobils... C'est le drame quand il faut nettoyer le château...


Un voisin m'a dit qu'il y avait ce genre de tempête juste avant l'hiver et juste avant l'été. Il faut compter encore 2 ou 3 épisodes de tempête de sable avant l'été et son écrasante chaleur.
Car, en fait, il n'y a que deux saisons.
Cool... Enfin, façon de parler !

Du coup, je suis allée me documenter un peu sur ces évènements météorologiques.

On distingue le Haboob, mur de sable spectaculaire qui paralyse le pays.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chammal
Franchement,  je n'espère pas voir ceci de près. Les menuiseries de notre habitation ne sont pas vraiment étanches...

Moins spectaculaire, mais un peu gênant quand même, il y a les tempêtes de sable ou de poussière portées par le Chammal. Etant donné le vent particulièrement chaud que nous avons subi, je pense qu'il devait s'agir d'une de ces tempêtes.

C'est curieux, quand on roule en voiture à travers ce brouillard sec, on entend les impacts des grains de sable sur la carrosserie.


Mes lentilles me gênaient un peu. J'ai demandé à l'épicier s'il fallait porter un masque (genre chirurgical). Il a souri gentiment... En bon oriental, il ne se laisse pas impressionner par un peu de poussière...

Nous avons donné toutefois un masque à chacun de nos enfants, à garder dan le sac d'école. Au cas où. Impossible de trouver des prévisions météo locales pour ces phénomènes.


Plus d'infos sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tempête_de_sable







samedi 16 février 2013

Jour du poisson

Le bus du compound permet d'aller faire ses courses ou du lèche-vitrine.
Ce jour-là, j'avais juste un saut à faire chez le vendeur de saris. Mais comme d'autres voisines avaient des courses à faire à divers endroits, j'ai fait ma touriste, et j'ai suivi.
Du coup, je me suis retrouvée au marché au poissons. 

La première fois que j'y étais allée, comment dire, m'avait rebutée. C'était en juin, en fin d'après-midi. Avec la chaleur, il y régnait une odeur insupportablement pestilentielle. 
Mais, après avoir goûté le week-end dernier un délicieux poisson au barbecue, je me suis fait violence et ai remis les pieds dans ce marché.

Il est vrai que, lorsqu'on est accompagné par des gens qui vivent ici depuis longtemps, ça aide.
Du coup, mettant de côté l'Hamour qui est servi ici à toutes les sauces, j'en ai profité pour acheter un beau Spaethi (genre daurade), et demander quels poissons sont bons, comment ils s'appellent et s'ils sont glacés ou fraîchement pêchés (ce qui fait une ENORME différence pour une Sablaise).

J'ai pris quelques photos des espèces à priori intéressantes et j'ai trouvé leur nom dans fishbase (http://www.fishbase.org).


Croyez-moi, la famille s'est régalée et on a quelques idées pour le prochain barbecue.

Voici donc ma sélection :

Voici  l'Hamour (et oui, on s'amuse bien avec : On a de l'(H)amour au menu, si c'est pas d'l(H)amour ça ?, j'aime l'(H)amour,...). Parfait pour la St Valentin. Il y en a au moins 3 sortes. C'est LE poisson qui est servi dans n'importe quel restaurant.


On trouve aussi du Kingfish (au centre de la photo)  : comme le thon blanc, mais moins sec.

J'ai acheté du Spaethi, genre de daurade (à gauche sur la photo). Très très bon.