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We are a simple french family with one dad, one mum and two children. And now a cat.
We are sharing here with you our expat adventure in Al Jubail, Saudi Arabia.

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lundi 8 octobre 2012

La petite fourmi


Dans les pays chauds, il faut faire avec les fourmis.

Nous en avions déjà fait l'expérience en Martinique, avec une invasion de ces charmantes bestioles, en rang serré, dans notre frigo refermé à la hâte.

ARRRR, Elles nous ont retrouvés ici !!!

Les premiers jours, on ne voit qu'elles, on dirait qu'elles sont partout. Dans la cuisine, dans le salon. Même dans le flacon de granules homéopathiques de camomille... On mène alors une chasse acharnée à la fourmilière. On traque les trous, les pistes. On pose des boîtes anti-fourmis.
Rien n'y fait. Elles arrivent à passer partout, au moindre interstice que nous ne voyons même pas.
Elles passent même à travers l'ordinateur.

Finalement, on se rend compte qu'elles connaissent la maison mieux que nous. Et puis, il est impossible d'astreindre les enfants à ne pas faire de miette. Alors, au moins, on planque tout le sucre (même les boîtes de ration de bonbon des enfants) dans le frigo, soigneusement refermé.

Maintenant, je m'y suis habituée, il n'y en a pas autant que cela. Elles se font discrètes, peut être grâce à la présence de notre gekko. Surtout grâce à l'enfermement des produits sucrés.

Il y a les fourmis noires (les plus grosses) qui viennent ramasser la moindre miette du petit déjeûner dans la salle à manger et dans la cuisine.
Il y a aussi les toutes petites fourmis. Ce sont les plus redoutables car elles passent par le moindre interstice ouvert d'un bocal ou d'un sac a priori hermétique.

Finalement, nous cohabitons. Parfois, j'inonde, à l'extérieur, le pied de la maison avec le jet d'eau. Ainsi, la maison est moins fréquentée durant le temps nécessaire pour réparer les fourmilières... Non mais, c'est qui le patron ici ?







 




Virtual school

Aujourd'hui et demain, nous expérimentons l'école virtuelle.

En effet, il y a quelques années, les écoles ont été fermées durant trois semaines en raison d'une épidémie de SRAS. Pour remédier à une telle situation, l'ISG a mis en place une école virtuelle. Dès lors, tous les ans, a lieu un entraînement au maniement du dispositif durant deux jours.

Grâce à l'école virtuelle, les étudiants travaillent à domicile, avec des cours et exercices en ligne. Les élèves et les professeurs sont en réseau.
L'étudiant accède à la plateforme de sa classe qui centralise différents liens vers d'autres plateformes de ressources mais aussi avec une messagerie instantanée et une messagerie ordinaire.

Chaque jour, l'étudiant doit se connecter. Il relève ses messages, et va voir, dans la rubrique de chaque enseignant, les tâches à accomplir. Il se connecte ensuite, selon les besoins, à la plateforme qui dispense les leçons et les exercices à faire.
Les professeurs peuvent relever les devoirs remplis en ligne et contrôler qui s'est connecté, à quelle heure et combien de temps.

Tout est animé, coloré,  interactif. C'est superbe.
Nous avons pu lire un livre, répondre au quizz qui lui correspond, et remplir un questionnaire de compréhension.
Ensuite, nous avons eu une leçon de maths animée ("trop cool !", vient de me dire mon fils...) avec une détective, des histoires de robots...

Le tout, en chaussons. Pas de bus à prendre, récréation à la maison. Maman à la portée de la main...

Pour les parents, cela demande d'être disponibles. D'autant plus que, en ce qui nous concerne, je dois encore traduire pas mal de choses à mon fils. Cela dit, on se rend mieux compte de l'esprit et du contenu de l'enseignement. Parfois même, on ré-apprend quelque chose...

Certaines mamans appréhendent ces deux jours. Certaines maisons ont un débit d'Internet insuffisant. D'autres n'ont pas assez d'ordinateur pour leurs enfants, il faut organiser le temps de travail des uns tout en occupant les autres. Et il faut s'organiser pour faire les courses un autre jour (ce qui n'est pas simple ici).

Mais cela ne dure que deux jours. Changer les habitudes a du bon et incite les enfants à gagner en autonomie. C'est d'ailleurs une caractéristique du système américain.







mercredi 3 octobre 2012

Salade de concombres au maïs

Encore une fois, je me mets à la cuisine sans vérifier ce que renferme mon frigo !
Mais je pense, qu'en fait, le frigo renferme toujours ce qu'il nous faut. Sauf quand il est entièrement vide.

Voici une salade bien fraîche :

Détailler un comcombre en dés.
Verser une boîte de maïs dessus.
Verser un yaourt battu.
Ajouter le jus d'un demi-citron.
Mélanger.
Réserver au frigo avant le repas.

Gratin de lentilles aux champignons

Je souhaitais réaliser un bon gratin familial aux pâtes, quand... Flûte, plus de pâtes...
J'ai utilisé des lentilles corail à la place. Finalement, c'est aussi simple et tout le monde en a redemandé.

Voici ma préparation :

Faire bouillir de l'eau avec un bouillon cube. Y jeter les lentilles. Si vous avez des plaques électriques,à la reprise de l'ébulliton, couper le feu et laisser les lentilles finir de cuire. Cela permet de les cuire sans les réduire en purée.
Les égoutter et les laisser refroidir.

Faire sauter une boîte de champignons en morceaux avec des oignons. Sortir du feu et laisser refroidir.

Préparer une béchamel avec du lait et de la farine.

Mélanger les lentilles avec la préparation de champignons et de la mozzarella râpée.
Verser la béchamel dessus et mélanger.
Verser le tout dans un plat allant au four.

Enfourner le tout à four chaud, juste pour que cela dore.


(photo à venir)